Osez la sodomie sans douleur ni appréhension !

La sodomie serait plus plaisante que la pénétration vaginale. Nombreuses femmes en témoignent et ne regrettent pas d’avoir tentées l’expérience. Comme pour le vagin, la première fois s’accompagne de petite douleur qui est bien supportable. Après, elle laisse la place au plaisir. C’est cette douleur même qui fait hésiter nombreuses femmes à se lancer avec la sodomie. Toutefois, des astuces simples peuvent vous aider à ne pas sentir la douleur à n’avoir aucune crainte.

En fait, tout dépend de votre partenaire et de son agilité à vous assurer et à vous exciter. En effet, il vous faut un partenaire de confiance qui saura interpréter vos réactions face à la douleur. Ainsi, il pourra calibrer et adoucir selon votre confort. L’initiation à la sodomiene présente aucun risque. Pour les couples, elle permettra aussi de pimenter la vie sexuelle. Quoi qu’il en soit, sans le consentement de la femme, la sodomie ne va pas procurer le vrai plaisir. Si vous forcez votre partenaire, elle ne sentira que douleur et humiliation. Ainsi, en parler avant et se faire confiance constituent des étapes très importantes.

Comment éviter la douleur ?

Tout comme d’autres traitements, l’astuce consiste à se détendre pour que les sphincters se relâchent. Une autre technique constitue une pénétration petite à petite et en douceur. Le partenaire peut commencer avec un ou deux doigts avant d’user de son pénis.

Outre cela, utiliser un lubrifiant allègera la souffrance. Se contracter lors de la pénétration anale est une réaction normale. Toutefois, cela représente le meilleur moyen pour avoir mal. Contrairement au vagin, le risque de déchirure est plus élevé. Ainsi, les mouvements ne doivent pas être brusques mais faits en douceur et lentement. La femme doit ainsi diriger l’homme selon la douleur ou le plaisir qu’elle ressent. Ainsi, il sera plus simple d’atteindre un synergie et une bonne complicité.

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